
Le goût de l’effort
C’est le temps qui agit sur le comportement, mais pas seul, il faut être accompagné.
Il faut faire abstraction de choses et d’autres pour y arriver. Rien de sectaire que des petites choses simples et logiques. Il faut simplement vivre, passer une partie de son temps à regarder, observer, sentir, toucher, respirer et rencontrer l’autre. Ensuite, une fois que c’est là, il faut passer à l’acte. Nous héritons aussi d’un devoir de transmission. Et là, le temps continue en attendant que d’autres bougent…Rien de naturel, juste le goût de l’effort.
Peinture de Wolfgang Laib